HandiCaf : A la conquête du massif de l’Estérel

 Date : 04 au 12 mai 2024

Bénévoles : Martine, Yann et Alex

Participants : Thomas, Nico B., Estéban, Xavier, Fabien, Benjamin, Nico W., Margot, Guillaume, Simon, Jérémie et Marion

Samedi 

On est bon mais vraiment trop bon… le top départ est donné à 8h. On gère trop.

VU l’heure du départ autant vous dire que nous avons eu la paix jusqu’à la pause traditionnelle du pt-dèj après Narbonne. Et rebelotte la paix s’installe de nouveau et ce jousqu’à 12h30 sur une aire de rendez-vous de voiture de luxe (Porche, Ferrari et Bentley ou un truc comme ça). Le reste de la route se fait dans les même condtions jusqu’à Saint Raphaël le pays des ronds-points tous les 500m. Vous seriez déçu si nous ne vous disions pas que nous nous sommes perdus ! Eh oui, mais c’est pas ma faute, la fléche sur mon GPS est trop grosse et cache les bifurcation… !

C’est enfin à 15H15 que nous arrivons à l’auberge dans les hauts de Saint-Raphaël. Petite auberge mignonette avec une décoration qui plait beaucoup aux jeunes. Après une rapide installation nous partons profiter de la mer tant attendue. La plage n’est qu’a 10 min de marche. Pieds nus dans l’eau pour les uns et en chaussure pour …. Martine surprise par une vague submersive très agressive. Quelque tentative de ricochets raté avec des galets ronds et lourd, un tour à la supérette, une douche t et c’est l’APPPPPEEEEROOO.

Nous finissons la soirée par un repas pris sur la terrasse. Au menu lasagne et panacotta sous un coulis de fraise.

Il est 21h30, les dents et au lit oun au compte-rendu !

Dimanche

Réveil au son de la nature à 7h45 suivi d’un petit-déjeuner bien consistant pour affronter la journée qui nous attend. Nous partons à pied direction le sémaphore. Après quelque passage de route nous amorçons la montée. Notre progression est ponctuée de vestige de la seconde guerre mondiale avant d’arrivée devant une vue spectaculaire. Criques, voiliers rochers figues de barbarie…. , mouettes et cormorans font de ce paysage une vrai carte postal. Devant le Sémaphore je suis prise d’envie de leur faire visiter mais non, l’entrée n’est pas ouverte au public. Impossible de jouer sur leurs cordes sensibles, la porte reste fermée. Ils ne savent pas ce qu’ils perdent !

Qu’à cela ne tienne, nous contournons le sémaphore direction le port du Pousaï pour rejoindre la plage du débarquement où nous prenons café et autres boissons au son des vagues.

Il est 14h quand nous rejoignons le gîte. Le voyage les a fatigués et une petite sieste s’impose avant d’accueillir Yann qui arrive par le train de 16h01.

C’est Margot et moi qui allons le chercher. Direction la gare avec le vieux camion. Au détour d’un virage, qui v’la pas, la gendarmerie municipale, et qui se fait arrêter ? Je vous le donne dans le mille. Bah nous. « Coupez le contact, votre permis et les papiers du véhicule ». Un autre tape sur la vitre de Margot pour lui demander de l’ouvrir et dégaine un alcootest en le demandant « il faut souffler ». Elle souffle mais pas dedans et éclate de rire ! De mon côté, le policier me demande « le véhicule est à vous ? » « non au Club Alpin » et Margot de dire « Menteuse c’est à toi » « non au club » « c’est pas vrai »…  Grosses gouttes et « c’est bon vous pouvez partir ». Du coup j’ai pas soufflé !

La fin de soirée se termine devant un sauté de poulet sur lit de riz et une tarte aux pommes. C'est c'atait avant qu'ils ne décident d'aller faire une promenade disgestive à la lueure des étoiles. Nous faisons découvrir à Yann la plage du débarquement, le sentitier litoral privatisé et donc impratiquable, nous sommes bon pour une aller-retour.

Lundi

Journée spéciale, C’est l’anniversaire de Nico W. et pour ça nous sortons le grand jeu.
Qui dit grand jeu dit supermarché. A 10h une équipe part donc au Leclerc pour l’apéro de ce soir pendant que Martine va chercher les croquants de Saint-Raphaël pour 16h. Mais chut ils ne sont pas encore au courant !

La météo est à la pluie nous forçant à prendre le déjeuner au gîte avec de rejoindre Thibaud au col de Belle Barbe. Nous le retrouvons donc sous le soleil. Avant le d épart chacun se présente à sa façon « conformiste, succincte, avec ou sans pédigré, ou plutôt pas du tout ».

C’est entre le pin d’Alep, les chênes liège, les eucalyptus, les mimosas que nous déambulons sur des sentiers connus des seuls locaux. Nous découvrons au fur et à mesure la lavande papillon, le mille-pertuis, le thym sauvage, le myrte, la sarriette et plein d’autre sont nous avons oublié le nom. Nous avons aussi découvert la deuxième plus grosse fourmi d’Europe qui lorsqu’on la mange dégage un gout de vinaigre.  Le sentier nous mène au lac des nénuphars qui rien que pour nous a éclos de 3 fleurs. C’est l’endroit idéal pour se poser, prendre le café, manger les croquants et ouvrir le cadeau (Opinel à l’effigie du club Alpin de Toulouse). Thibaud en profite pour nous présenter des cranes et bois de la faune locale (sanglier, renard, blaireau, tortue, canard, corbeau). Il est tant de repartir, le chemin continue à monter tranquillement jusqu’au col Aubert qui culmine à 86m (ça nous change des Pyrénées !). Le col Belle Barbe culminant à 45m, je vous laisse faire le calcul pour le dénivelé qui nous reste à faire pour rejoindre les camions.

Nous sommes de retour à l’auberge à 18h50. Juste de temps de prendre une douche (enfin pour eux) et pour nous de préparer l’apéro.

Nous enchainons sur le repas et le moment tant attendu du gâteau d’anniversaire.

Demain réveil pour les pêcheurs à 6H15.

Je ne vous en dis pas plus. Suite au prochain épisode, Martine doit aller se coucher !

Mardi

6h15, bizarrement les pêcheurs ne trainent pas au lit. Ils attendent les croissants et le pain frais comme si nous ne les nourrissions pas ! Même Esteban n’a plus mal au dos et pourtant il souffrait le martyr ! Le ventre plein, les sacs fait et le pique-nique mis en glacière Esteban, Simon, Nico B., Benjamin, Guillaume et Thomas accompagnés de Yann partent rejoindre Christophe et son bateau sur le port Fréjus.

Nico B. : Christophe nous donne les règles de sécurité, nous explique le fonctionnement des cannes à pêche, des moulinets et des leurres. Nous sommes partis en mer. On a vu des dauphins

Guillaume : Très bonne expérience de pêche en mer, plein de souvenir et de poissons attrapés. Ça m’a changé de la pêche en lac. On a attrapé des maquereaux espagnols et un poisson piquant.

Simon : J’ai eu froid, la pêche j’ai aimé.

Thomas : Alors aujourd’hui pour la pêche s’était génial, la vie est magnifique et ensuite j’ai découvert des poissons avec le monsieur et après on a pique-niqué sur la plage de la pescade et à la fin j’adore avoir été à fond la caisse sur le bateau.

Esteban : J’ai bien aimé la pêche sur le bateau et c’était très amusant de participer avec HandiCaf et j’aimerais bien refaire plus souvent et aller faire du club plongé avec HandiCaf et de la montagne le week-end. Et après je souhaiterais faire la pêche sur le bateau pour mon anniversaire et être avec tout le monde de l’HandiCaf. Je veux revenir à l’auberge provençale.

Benjamin : Alors moi je suis très très content, le bateau de pêche, c’était très très cool avec les autres bateaux. Moi j’ai vu les mouettes. Le bateau c’est très bien ; avec Benjamin ça s’est bien passé. Moi je tiens la canne à pêche avec un poisson, c’est très bien. Bah voilà c’est tout.

L’autre équipe se lève tranquillement entre 7h30 et 8h. A 8h30 Thibaud nous rejoint pour nous faire découvrir la balade des courants d’air. Départ à pied du gîte direction la Tiki plage traversée de quartiers résidentiels et à gauche toute pour une ascension vers la fenêtre ouverte. Le chemin à des passages techniques que tout le monde passe avec brio.  Régulièrement nous regardons la mer en espérant voir nos amis pêcheurs. L’arrivée à la fenêtre ouverte se fait par quelques épingles à cheveux bien serrées et pentues de telle sorte qu’avec Marion nous avons l’impression de reculer ! La persévérance a payé, nous arrivons devant une vue imprenable sur la côte et devant nous cette fenêtre ouverte par laquelle passe un bon courant d’air qui nous rafraichit le temps d’une photo. Après tout effort pause-café obligatoire.

Nous repartons pour rejoindre le chemin déjà emprunté dimanche qui passe devant l’ile d’or. Un peu d’histoire : I’ile était à l’origine non bâti et vendue par la commune en 1900 à ….. ?  L’acheteur a construit une tour détruite pendant la guerre et l’a faite reconstruire et a demandé l’indépendance à 1km de la terre ferme ! Vendue et ou perdue au jeu, l’ile appartient depuis plusieurs générations à la même famille. Hergé se serait inspiré de l’ile pour écrire les aventures de Tintin sur l’ile noir. Le chemin se poursuit tranquillement jusqu’au gîte où nous profitons de la terrasse pour pique-niquer avant de partir pour une virée glace ! Mais avant la glace défi de taille avec un camion, trouver une place dans une ville côtière. N’ayant peur de rien nous interpellons en bloquant la circulation un joli policier posté juste devant une place handi. Après discussion, et sur présentation des cartes d’invalidité, il communique notre n° d’immatriculation à ces collègues pour que nous ne soyons pas verbalisés. J’en conclus que lorsque nous voyageons avec des personnes en situation de handicap nous pouvons être bourré (voir CR dimanche) et ne pas payer le stationnement où il est écrit en gros payant !

Le camion garé commence la chasse à la glace avec un GPS bloqué qui nous envoie à l’opposé du port. L’erreur est vite vue et nous arrivons enfin devant le glacier Barbarac et sa terrasse ombragée. Chacun choisit ses parfums et oh miracle plus personne ne parle !

Petit tour sur le port pour digérer et admirer les chaloupes à 300000000€. Retour au camion et au gîte où nous trouvons nos amis pêcheurs fiers de nous raconter leurs aventures.

Mais pas de pose pour nous car Nico B. et Esteban nous entrainent déjà pour une balade sur le sentier côtier avec observation des coquillages, crustacés et autres anémones. Yann a bien pris des photos mais je vous laisse deviner ce qui manquait dans son appareil photo !

Mercredi

Après une soirée agitée pour les bénévoles et quelques jeunes, rien de tel que de démarrer la journée par une petit- déjeuner aux aurores pour savourer un moment de calme. 7h30, les plus matinaux arrivent suivis des autres à 8h. Petit déjeuner tranquille au soleil pour préparer une journée rando. Thibaud nous a rejoins au gîte pour nous guider au départ du Pic du Cap Roux dans le massif de la Sainte-Baume. Montée tranquille par le col du Saint-Pilon avec des arrêts réguliers pour s’hydrater.  C’est au col de Saint-Pillon que nous découvrons un point de vue imprenable sur les criques. Nous ne sommes à partir de là plus protégés par les arbres, la température monte, elle aussi de quelques degrés à contrario des gourdes dont le niveau baisse. Les encouragement des randonneurs et les échanges nous même à petits ou pas en fonction de chacun au Col du Cap Roux où nous décidons de pique-niquer. (Petite histoire des pique-nique, il était établi qu’un jour sur deux nous aurions de sandwichs ou des salages. J’ai donc programmé les randos sur les jours sandwich, normal. Mais surprise, ce matin nous est présenté des salades dans des boites en cartons. Ce n’est pas connaitre les aptitudes de vos enfants à oublier le contenu de leur sac pour s’assoir dessus ou tasser les affaires par-dessus (vive la machine à laver) ! Deux options leur sont proposée après le pique-nique :

  • Rester au col les orteils en éventail
  • Faire l’ascension du Pic de Cap Roux

Nico B., Simon, Guillaume, Thomas et Margot se lance vaillamment dans cette aventure ou la difficulté n’est pas la monté mais comment éviter les randonneurs descendants. Un véritable chassé-croisé…

Au sommet Margot qui arrive la dernière de petit groupe est applaudie par une foule en délire ! Je croix que nous avons été repéré ! Thibaud décrit les montagnes enneigées du Mercantour, Nice, l’aéroport de Nice, la péninsule d’Antibes, Canne, et de l’autre cotée la vue jusqu’au golfe de Saint-Tropez. Plus bas nous apercevons les orteils en éventails qui nous attendent patiemment à l’ombre. Nous pouvons compter sur Xavier pour avoir des nouveaux adhérents au Club Alpin de Toulouse.

De nouveaux réuni nous attaquons une descente qui mixe passage technique et roulant permettant à plus fatigués de récupérer. Là encore nous ne passons pas inaperçu. De retour aux camion Thibaud nous annonce qu’il a une surprise. Nous devons le retrouver à la plage d’Agay. Une surprise, on aime ça… C’est les fesses dans le sable et les pieds dans l’eau que Thibaud nous fait déguster une spécialité locale, le sirop de Mimosa.  Je ne vous dirais pas que c’est bon, je n’en ai pas eu, mais à voir leur mine ravie, je pense que c’est délicieux et que je vais en ramener…

Nous découvrons que la porte latérale du camion de s’ouvre plus. Chacun y va de son conseil avisé et autant vous dire que leur conseils… nous nous en passerions.

Alors que nous envisagions de les faire rentrer par le coffre, un miracle s’opère, la porte s’ouvre mais démiracle au gîte le porte reste fermées avec les jeunes à l’intérieur. De guerre lasse nous les faisons sortir par le coffre. Il est bien connu que le bricolage se fait toujours après une douche.  C’est donc naturellement qu’avec Yann, nous jouons du tournevis, de la pince mais surtout du 5 en 1 pour essayer de dégripper le système. Demain nous chercherons un garagiste avec l’aide de Céline qui gère le gîte !

Outre la fatigue de la journée, la surprise à venir nous laisse peu de temps de sommeil. 20h les dents et au lit tant pour les jeunes que pour Martine qui vous l’aurez compris n’a pas participer à ce compte-rendu !

Jeudi

5h15, j’ai oublié de désactiver l’alarme footing, 5h30 Yann bouge et met en route la bouilloire.6h nous sommes d’attaque pour lever… Bah ils sont déjà debout, la surprise motive !

Après un bon petit déj, nous partons du gîte à 7h10. Direction Cannes, par la route côtière sinueuse et heureusement déserte, où un train nous attend à 8h40 pour Monaco. L’arrivée à Cannes se passe sans problème, il nous reste à nous garer et là c’est une autre histoire. Avec le camion du CAF nous arrivons rapidement à trouver une place handi derrière la gare, mais Martine se retrouve bloquée devant les parkings dont la hauteur est limitée.  Se sera donc le dépose minute. Avec 20 minutes d’avance nous sommes large et nous pouvons souffler sur le quai. Le train est à l’heure et la place ne manque pas. Le temps de sortir de la gare et de s’orienter il ne nous reste que 30 min pour rejoindre le centre océanographique où nous sommes attendus à 10h30 pour une animation sensorielle autour du toucher.

Le groupe est scindé en deux parties. Ce sont Guillaume, Nico B., Nico W., Simon, Benjamin et Thomas qui découvrent l’atelier avec une biologiste. Ça se passe devant un petit bassin avec des étoiles de mer, des oursins, un gros bernard l’hermite qui bouffe les pattes des étoiles de mer, des concombres de mer, un crabe femelle, des anémones affamées et un petit bernard l’hermite chatouilleur de main. Chacun a pu, en dehors du mangeur de patte d’étoile de mer, caresser ce petit monde. Pendant ce temps-là le second groupe s’extasie devant les aquariums géants avec requins, tortue luth, poissons multicolores, méduses, murènes, poisson cailloux, hippocampes, anémones et autres inconnues. C’est au tour de 2ème groupe de participer à l’atelier sensoriel et au 1er groupe de s’extasier devant les aquariums.

 Nous nous retrouvons tous vers midi pour aller manger au restaurant du muséum situé sur le toit. Là encore l’aventure continue, un 1er voyage est fait et nous arrivons nez à nez avec des ours blancs, certifiés des Pyrénées par Thomas (eh oui il est expert en la matière !). Mais où sont nos amis, 5 min que nous les attendons ! Panne d’ascenseur, erreur d’aiguillage ? Complétement perdus, Yann nous appelle et nous demande de décrire notre environnement « des ours des Pyrénées » « Bah nous un squelette de morse ». Visiblement nous ne sommes pas dans les mêmes contrées !

Enfin réuni nous pouvons passer à table avec un menu très équilibré pâte à la bolognaise, poulet, frites et mousse au chocolat.

Nous continuons notre visite par la partie musée et une salle de visionnage interactive avec des banquises que bougent et se fracturent quand on marche dessus, des aurores boréales qui apparaissent lorsque l’on touche les murs…..pour se terminer par la boutique.

Il est temps de reprendre le chemin de la gare en empruntant une variante souterraine qui s’avère beaucoup plus courte que la sur-terre. Cela nous permet de prendre un train plus tôt. Le train arrive, les gens s’engouffrent dans le train alors que les passagers ne sont pas descendus. C’est la cohue, une partie du groupe est dedans, l’autre dehors. Personne ne veut appuyer sur le bouton pour que la porte reste ouverte. Je gueule un bon coup, certains semblent avoir compris ma problématique et gèrent la porte pour que tout le monde monte.  Autant vous dire que les places assises sont chères. Il a encore fallu que je hausse le ton pour que Marion puisse s’assoir. Nous arrivons enfin à Canne où nous récupérons les véhicules et direction calme, espace et bienveillance. On rentre à 18h30, douche repas, les dents et au lit !       

Vendredi

Aujourd’hui, nous divisons le groupe pour permettre aux plus montagnards de faire une rando avec un peu d’engagement et au reste du groupe une journée détente avec petite rando le matin et détente à la pistoche l’après-midi.

Vous me connaissait, l’eau c’est pas mon truc, donc rando avec Guillaume, Thomas, Esteban, Simon et Nico B. toujours accompagné de notre amis Thibaud.

Groupe rando

Nous empruntons la route côtière pour rejoindre Le Trayas où nous garons la voiture. Notre objectif est de faire l’ascension du pic de l’ours suivi de la dent de l’ours. L’ascension se fait tranquille jusqu’au col Notre dame. Pause hydratation et c’est reparti pour la dent de l’ours culminant à 380m avec sa caverne aux kern secrète. Esteban et Nico B. y ont laissé leur emprunte.  Nous poursuivons jusqu’à l’antenne télécom où nous mangeons à l’ombre (enfin les jeunes pas nous) à coté d’une cabane en ruine sous le Pic du l’ours.

Les estomacs remplis nous reprenons notre chemin verts notre but ultime (avant le bar) le Pic D’Aurelle culminant à 323m avec une vue imprenable des montagnes enneigées du Mercantour à la corse (quand il n’y a pas de brume de chaleur) et jusqu’au golfe de Fréjus. Petit passages vertigineux, descente très caillouteuse, un genou au sol et des fesses par-terre… Une rando de pro quoi !

La rando se termine, il en va de soi, au bar !

Je laisse la place aux nageurs

La journée commence par une petite rando tranquillou « le Rastel d’Agay ». Nous adaptons le parcours en fonction des difficultés qui commence par un escalier abrupt et vertigineux. La vue sur la mer et les crêtes du Rastel apparaissent au fur et à mesure de notre progression, nous poursuivons la descente en passant par des petits chemins et la voie ferrée qui nous ramène à la plage d’Agay. Le pique-nique est pris sur la terrasse du gîte et c’est après une petite sieste que nous partons à la piscine. Après de moults détours, flame olympique oblige, nous arrivons au parc Espace nature de Fréjus. Après avoir acheté des bonnets de bain, le maître-nageur nous présente les divers bassins et oh ! surprise tout le monde veut aller dans le jacuzzi !

Les nageurs (Xavier, benjamin, fabien, Nicolas et Jérémie se précipitent dans le grand bassin avec Yan et font une longueur ensemble, quant aux filles, margot se prélasse  dans le jacuzzi ,Marion fait quelques longueurs dans le petit bassin grâce aux frites sous le cou et les hanches, Martine veille pour qu’elle ne  coule    pas et Marion finit par se décontracter totalement , super, …Après 1h30 de baignade , le ventre cri et c’est le moment de se restaurer. Nous nous rhabillons et allons prendre un gouter près de la plage. C’est l’heure de rentrer au gite ou nous retrouvons toute l’équipe. Tout le monde a le sourire. 

Certain ayant besoin de s’extraire du groupe, nous leur proposons de répondre à leur demande de baignade en bord de mer. Ce soir le repas est donc pris à 19h. Nous profitons de l’allongement des journée s pour accompagner Thomas, Simon, Guillaume et Nico B. à 10min du gîte sur la petite place de Tiki. Avec les 25° de la journée la température de l’eau devait avoisiner 16° ? La seule ombre au tableau est quelle est salé et c’est dégueulasse dixit Guillaume !  Comme diraient certains, c’est bien une organisation d’éduc…

Samedi

Grasse mat jusqu’à 8h30. Le groupe est de-nouveau divisé en deux pour les accompagner au mieux tout au long de cette folle journée ? Au programme trampouille et achat à saint Raphaël. C’est le groupe Guillaume, Simon, Thomas, Marion, Nico B.et Benjamin qui attaque la rando boutiquaire enfin, si nous y arrivons. Yann n’ayant foi que dans Maps, le voilà qui s’engage dans un tunnel qui en plus d’être très étroit se rétréci progressivement. Retro rabattu, pneu crissant sur le petit trottoir et cerise sur le tunnel une moto s’engage et pile devant cette scène improbable. Impossible pour lui de reculer seul sa monture, je vole donc à son secours pour reculer son engin. Jeune et joli ? Mystère, son casque restant visé sur sa tête !

Déposé sur le marché Victor Hugo nous partons à la recherche de radis, tapenade, artichaunage et anchoyade pour l’apéro de départ. Les radis se transforme en carottes, pour le reste c’est bon. Nous enchainons ensuite sur les petits achats plaisir que nous trouvons le long du qui Albert 1er. Yann vient nous récuper à 12 pour partager le repas avec nos amis partie à la plage.

Je vous laisse découvrir en photos la suite de notre journée.

Le groupe de Margot, Jérémie, Fabien, Esteban, Xavier et Nico W. prent le relais de achats plaisirs et pendant ce temps l’autre groupe va faire trempette.

Nous nous retrouvons tous à 17h pour faire les bagages et vers 19h prendre l’apéro avec Thibaud, Céline, Julien et Marine.

Surprise, Céline offre à chacun de nous une boite à mouette qui fais son petit effet. On conseil grandement de demander une démonstration !

La soirée se termine devant une crème bruler et un moelleux au chocolat. Un vrai régal.

Fin de la soirée à 21h.

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